La bibliothèque, où j'ai l'habitude d'aller, a fermé ses portes mi août jusqu'au mois de mars 2024 pour son transfert de bâtiment. J'ai donc pu prendre jusqu'à quarante livres et j'ai laissé libre cour à mes envies.

Voici la suite des aventures de "Jules"  de l'auteur Didier Van Cauwelaert. 

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Guide d’aveugle au chômage depuis qu’Alice a recouvré la vue, Jules s’est reconverti en chien d’assistance pour épileptiques. Il a retrouvé sa fierté, sa raison de vivre. Il est même tombé amoureux de Victoire, une collègue de travail. Et voilà que, pour une raison aberrante, les pouvoirs publics le condamnent à mort. Alice et Zibal n'ayant pas réussi à protéger leur couple, il leur reste vingt-quatre heures pour sauver leur chien.

Le tome 2 reste dans lignée du premier, à savoir d'apparence légère, pourtant c'est un véritable plaidoyer pour les animaux.

La bibliothèque, où j'ai l'habitude d'aller, a fermé ses portes jusqu'au mois de mars 2024 pour  son transfert de bâtiment. J'ai donc pu prendre jusqu'à quarante livres et j'ai laissé libre cour à mes envies.

Voilà le premier titre de cette longue série.

"Jules", je l'avais déjà lu il y a longtemps,  il est de l'auteur Didier Van Cauwelaert.

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A trente ans, Alice recouvre la vue. Pour Jules, son chien-guide, c’est une catastrophe. Il perd son rôle, son but sur terre. En plus, on les sépare. Alors, il se raccroche à Zybal, son nouvel ami. En moins de vingt-quatre heures, ce labrador en déroute lui fait perdre son emploi, son logement, tous ses repères. Il ne leur reste plus qu’une obsession: retrouver la jeune femme qui a disparu.

Drôle, tendre, mais aussi un autre "regard" sur le handicap, les chien-guides d'aveugle et cette étroite et forte relation qu'ils entretiennent avec leur maître.

Un roman positif qui fait du bien !

Tu comprendras quand tu seras grande, qui n'a jamais entendu cette phrase lorsque l'on posait une question, étant enfant, et qu'elle était embarrassante pour notre interlocuteur.

Voilà le titre du livre que je viens de terminer. Il est de l'auteure Virginie Grimaldi que je découvre avec plaisir.

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Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, à Biarritz, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver. Et cela dans tous les sens du terme.

Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé… Et si elle n’avait pas atterri là par hasard? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas?

C’est l’histoire de chemins qui se croisent: ceux des êtres qui ont une vie à raconter et ceux des personnes qui ont une vie à construire. C’est une histoire d’amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur.

Un humour décapant, des personnages attachants et une profonde humanité. En refermant le livre, on n’a qu’une envie: se délecter des petits bonheurs qu’offre la vie.